Bien que de plus en plus de personnes en France et dans le monde s’intéressent de très près au Dry January, que l’on appelle plus communément le Mois sans alcool, force est de constater que l’origine du Dry January reste tout de même un vrai mystère pour la plupart d’entre nous?
Dans cet article, nous allons vous dévoiler tous les secrets de la création du Dry January, et notamment les raisons qui ont pu conduire à cette pratique de plus en plus répandue.
L’origine du Dry January : Une initiative du Royaume-Uni
Alors que la France est connue pour être le pays du vin, on se doute bien que cette démarche du Mois sans alcool n’est pas à l’initiative des organismes publics français ! En effet, cette démarche nous vient tout juste du Royaume-Uni, où les anglais ont lancé le Dry January en 2013. Concrètement, elle consiste tout simplement à ne pas boire un verre d’alcool pendant tout le mois de janvier. Mais quelles sont les origines du Dry January ?
Qu’il s’agisse de vin, de bière, ou encore d’autres alcools, vous n’aurez donc pas le droit d’y toucher durant tout le mois de janvier si vous décidez de suivre cette initiative !Et pour cause, avec les excès que notre corps connaît pendant le mois de décembre (avec, pour ne citer qu’elles, les fêtes de Noël et du nouvel an), on peut dire que cette opération ne peut que faire du bien à notre corps?
Une étude menée en 2019, quelques années après l’origine du Dry January, par l’université du Sussex a notamment montré que, grâce à cette initiative, les participants bénéficient d’un meilleur sommeil et d’une meilleure concentration.
Toutefois, malgré les bienfaits du Dry January, ce n’est que quelques années plus tard que cette grande opération s’est répandue ailleurs dans le monde. Et bien sur notamment en France.
Une lutte contre l’alcoolisme difficile à mener
Bien que le Dry January soit de plus en plus connu en France, on constate tout de même que la démocratisation de cette initiative n’est pas aussi facile qu’il n’y paraît.
En effet, les organismes publics ne soutiennent pas officiellement cette démarche. Ce sont des associations de lutte contre l’alcoolisme qui ont dû mener ce combat.
Bien qu’un projet avait été étudié par l’agence publique Santé Publique France, celui-ci a rapidement été abandonné. Même si les raisons officielles ne l’évoquent pas directement, certains n’hésitent pas à dire que les lobbies de l’alcool sont directement responsables de l’échec de ce projet. Malgré tout, on constate que le Mois sans alcool connaît tout de même de plus en plus d’adeptes en France.